Bonjour à tous
Voilà le huitième article qui arrive enfin avec pas mal de retard (je m'en excuse sincèrement).
Donc pour résumé dans cet extrait, Laila est entré dans le tunnel caché derrière sa porte, et après avoir descendu un long escalier, elle a la surprise de découvrir... Enfin, je vous laisse découvrir par vous-même.
Bonne lecture
Pourtant
Laila finit par arriver tout en bas, devant une vieille porte, une
très vieille porte rongeait par les mites et pourrit par les années.
Mais de derrière cette porte n’émanait aucun parfum de moisi ou
d’autres odeurs désagréables. Laila ouvrit la porte et ce qu’elle
découvrit derrière ne ressemblait en aucun cas à ce qu’elle
aurait pu s’imaginer.
La
pièce était assez grande, les murs en pierre poisseuse était
recouvert de toile d'araignée, le sol était recouvert de poussière
si bien qu'à chaque pas que Laila faisait, elle laissait une
empreinte derrière elle. Le plafond devait culminer à la hauteur
impressionnante d'environ dix ou même douze mètres de haut. La
pièce était remplie d’une multitude d’objets plus ou moins de
valeurs: des gros coffres remplis de vêtements (certes un peu
bizarres mais très riche en décoration) ou de vaisselles, Laila vit
même quelques colliers en or et autres bijoux, traînés. La
première chose qui l’attira fut une magnifique épée, elle n’en
avait jamais vu réellement, et la beauté de l’arme
l’impressionna. La lame était toujours aussi brillante malgré le
nombre d’années qu’elle devait être là; dessus était sculpter
des mots que Laila ne comprenait pas, dans la garde était incrusté
un joyau et le pommeau brillait à la lueur de sa lampe de poche.
Mais
ce qui impressionna le plus Laila ce fut la légèreté de l’arme.
Son poids était loin de ce qu’elle avait pu s’imaginer surtout,
par rapport au film.
Laila
fit tournoyer l’épée au-dessus de sa tête puis la jeta en l’air
et la rattrapa sans aucune difficulté. [...]
La
dernière chose qui l’attira fut un coffre au fond de la pièce,
elle ne l’avait pas remarqué lors de son arrivée. Dans sa poche,
Laila sentit la petite clé frémir. Elle glissa la clé d’or dans
la serrure du coffre et la tourna. Celui-ci s’ouvrit sans aucune
difficulté, à l’intérieur du coffre se trouvait un vieux livre
doré. Laila le saisit, il était assez lourd, elle l’observa
pendant environ cinq minutes. Le livre paraissait être fait presque
entièrement en or!
Laila
tenta de l’ouvrir mais il était fermé par un ruban de cuir doré.
Seulement les extrémités du ruban était relié au livre par un
autre moyen que cousu ou encore collé, il semblait rentrait à
l'intérieur du livre. Laila tenta de l'ouvrir par la force mais
impossible: il était bien trop résistant.
Elle
s'assit sur un coffre (remplie de vêtements) pour réfléchir à une
solution. Au milieu du ruban, on pouvait distinguer une sorte de
petits cercles avec à l'intérieur un symbole, Laila déposa son
pouce sur le cercle Tout à coup le ruban se desserra et rentra à
l'intérieur du livre. Laila ouvrit le livre et il y eut un grand
flash aveuglant. Quand Laila rouvrit les yeux, tout doucement sur les
pages dorés apparaissaient des petits signes.
-
Sûrement une écriture d'un autre pays, pensa Laila tout en
continuant d'observer l'étrange manège qui se passait sous ses
yeux.
Elle
ne comprenait pas un mot de ce qui était écrit mais pourtant cette
écriture ne lui semblait pas inconnue.
Elle
était tellement inspirée par le livre qu'elle ne fit pas attention
aux ombres qui se dirigeaient vers cette cave.
Le
sol commença à trembler, déstabilisé Laila fit quelques pas en
arrière et trébucha sur un coffre rempli d’objets. Le temps de se
relever de ramasser sa lampe de poche et le livre, puis de la braquer
vers la porte : un œil géant était apparu. Laila plaqua une main
contre sa bouche pour ne pas crier. L’œil disparut dans un
hurlement sourd. Puis elle entendit des voix, deux personnes qui
devaient discuter, mais elles avaient toutes les deux une très
grosse voix.
-
Il y a quelqu'un à l'intérieur, vociféra le premier d'une voix
rauque.
-
Il faut l'empêcher de voler quoi que ce soit, s'exclama le deuxième
avec une voix beaucoup moins rauque que le premier.
Ensuite
quelque chose d'autre apparut par la porte: c'était une main, une
main de géant!