mercredi 27 mai 2015

huitième article

Bonjour à tous
 
Voilà le huitième article qui arrive enfin avec pas mal de retard (je m'en excuse sincèrement).
Donc pour résumé dans cet extrait, Laila est entré dans le tunnel caché derrière sa porte, et après avoir descendu un long escalier, elle a la surprise de découvrir... Enfin, je vous laisse découvrir par vous-même.
Bonne lecture
 

Pourtant Laila finit par arriver tout en bas, devant une vieille porte, une très vieille porte rongeait par les mites et pourrit par les années. Mais de derrière cette porte n’émanait aucun parfum de moisi ou d’autres odeurs désagréables. Laila ouvrit la porte et ce qu’elle découvrit derrière ne ressemblait en aucun cas à ce qu’elle aurait pu s’imaginer.
La pièce était assez grande, les murs en pierre poisseuse était recouvert de toile d'araignée, le sol était recouvert de poussière si bien qu'à chaque pas que Laila faisait, elle laissait une empreinte derrière elle. Le plafond devait culminer à la hauteur impressionnante d'environ dix ou même douze mètres de haut. La pièce était remplie d’une multitude d’objets plus ou moins de valeurs: des gros coffres remplis de vêtements (certes un peu bizarres mais très riche en décoration) ou de vaisselles, Laila vit même quelques colliers en or et autres bijoux, traînés. La première chose qui l’attira fut une magnifique épée, elle n’en avait jamais vu réellement, et la beauté de l’arme l’impressionna. La lame était toujours aussi brillante malgré le nombre d’années qu’elle devait être là; dessus était sculpter des mots que Laila ne comprenait pas, dans la garde était incrusté un joyau et le pommeau brillait à la lueur de sa lampe de poche.
Mais ce qui impressionna le plus Laila ce fut la légèreté de l’arme. Son poids était loin de ce qu’elle avait pu s’imaginer surtout, par rapport au film.
Laila fit tournoyer l’épée au-dessus de sa tête puis la jeta en l’air et la rattrapa sans aucune difficulté. [...]
La dernière chose qui l’attira fut un coffre au fond de la pièce, elle ne l’avait pas remarqué lors de son arrivée. Dans sa poche, Laila sentit la petite clé frémir. Elle glissa la clé d’or dans la serrure du coffre et la tourna. Celui-ci s’ouvrit sans aucune difficulté, à l’intérieur du coffre se trouvait un vieux livre doré. Laila le saisit, il était assez lourd, elle l’observa pendant environ cinq minutes. Le livre paraissait être fait presque entièrement en or!
Laila tenta de l’ouvrir mais il était fermé par un ruban de cuir doré. Seulement les extrémités du ruban était relié au livre par un autre moyen que cousu ou encore collé, il semblait rentrait à l'intérieur du livre. Laila tenta de l'ouvrir par la force mais impossible: il était bien trop résistant.
Elle s'assit sur un coffre (remplie de vêtements) pour réfléchir à une solution. Au milieu du ruban, on pouvait distinguer une sorte de petits cercles avec à l'intérieur un symbole, Laila déposa son pouce sur le cercle Tout à coup le ruban se desserra et rentra à l'intérieur du livre. Laila ouvrit le livre et il y eut un grand flash aveuglant. Quand Laila rouvrit les yeux, tout doucement sur les pages dorés apparaissaient des petits signes.
- Sûrement une écriture d'un autre pays, pensa Laila tout en continuant d'observer l'étrange manège qui se passait sous ses yeux.
Elle ne comprenait pas un mot de ce qui était écrit mais pourtant cette écriture ne lui semblait pas inconnue.

Elle était tellement inspirée par le livre qu'elle ne fit pas attention aux ombres qui se dirigeaient vers cette cave.
Le sol commença à trembler, déstabilisé Laila fit quelques pas en arrière et trébucha sur un coffre rempli d’objets. Le temps de se relever de ramasser sa lampe de poche et le livre, puis de la braquer vers la porte : un œil géant était apparu. Laila plaqua une main contre sa bouche pour ne pas crier. L’œil disparut dans un hurlement sourd. Puis elle entendit des voix, deux personnes qui devaient discuter, mais elles avaient toutes les deux une très grosse voix.
- Il y a quelqu'un à l'intérieur, vociféra le premier d'une voix rauque.
- Il faut l'empêcher de voler quoi que ce soit, s'exclama le deuxième avec une voix beaucoup moins rauque que le premier.
Ensuite quelque chose d'autre apparut par la porte: c'était une main, une main de géant!