Bonjour à tous et à toutes,
Voici donc le septième extrait, celui-ci nécessite une rapide explication. Les deux jeunes filles après avoir passé un diner de noël avec Mme Bompin, repartent vaguer à leurs occupations. Laila, après avoir cassé un verre, va réparer sa bête et va découvrir quelque chose de surprenant.
Bonne lecture
Pendant
ce temps, Laila alla réparer la bêtise qu'elle avait faite le matin
même. Elle prit l'aspirateur, le brancha et commença par vérifier
qu'il n'y avait plus aucun bout de verre de l'armoire ; ensuite
après avoir aspiré les derniers bouts de verre qui traînait autour
de l'armoire, elle s'accroupit pour passer l'aspirateur sous
l’armoire. L'aspirateur cogna quelque chose, Laila s'allongea pour
regarder de quoi il s'agissait. Elle distingua quelque chose qui
ressemblait au contour d'une porte. Laila alla chercher une lampe de
poche afin de pouvoir mieux voir, ce qu'il y avait derrière
l'armoire.
Entre
temps Gabi avait fini de se préparer, elle descendit, jeta un coup
d’œil à sa sœur allongeait par terre en train de regarder sous
l'armoire.
- Je m'en vais, cria-t-elle presque pour que sa sœur l'entende.
Laila
ne répondit pas. Sûrement trop concentré à ramasser ses bouts de
verre pensa Gabriella.
La
lampe de poche lui permit de mieux distingué ce qui se trouvait sous
l’armoire. Comme elle l’avait deviné, il s’agissait d’une
porte, pas très large, dissimulé derrière l’armoire. Seulement
le seul moyen de voir quelle était la hauteur de cette porte, était
de pousser l’armoire. Une armoire remplit de vaisselles et d'autres
objets qui cassent. La seule solution pour remédier à ce problème
était de vider entièrement l’armoire.
Laila
mit environ une heure à faire attention de ne rien casser de
nouveau, à classer sur la petite table du salon les verres, les
tasses, les bols… Afin qu’elle puisse les ranger rapidement.
Finalement
après cette longue heure, l’armoire fut entièrement vidée.
Ensuite
elle dût pousser l’armoire suffisamment pour que la porte soit
bien visible, mais ce ne fut pas de tout repos, car elle était
lourde et colossale.
Après
une bonne demi-heure, elle put enfin examiner de plus près cette
porte. Elle n’était en réalité pas plus haute qu’un mètre et
très poussiéreuse. La pognée était cassée et n’y avait aucune
présence de serrure. Laila dû mettre un bon coup de pieds dedans
pour qu’elle s’ouvre.
D’abord
ce fut une odeur de moisie qu’elle put sentir en ouvrant cette
porte, puis en regardant à l’intérieur avec la lampe torche se
fut des toiles d’araignées.
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